Épées à la main, les acteurs répètent inlassablement la chorégraphie réglée par le pittoresque Alain Figlarz.
«En général, dans les films d'action, j'ai plus l'habitude de manier le bazooka que l'épée, explique le cascadeur. Bertrand Tavernier voulait de la modernité dans les duels, hors des clichés des films de cape et d'épée.»
Source : Le figaro.fr