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#207 : Au nom du pire

Réalisateur : Eric Valette


Résumé : Après le braquage de l'INESSIF et l'arrestation des Invisibles, Caplan n'arrive plus à joindre qui que ce soit : le général Fèvre, comme Marceau ou Roxane, tous sont aux abonnés absents. En attendant de comprendre les raisons de ce silence général, Caplan ramène les Invisibles à la casse auto de Rocky. Pendant ce temps, madame Arifa et ses fils Daniel et Latif enlèvent Myriam, avec qui Caplan a entamé une liaison plutôt tumultueuse. Les Arifa, qui ne veulent plus payer pour la dernière livraison de l'or, proposent d'échanger la libération de Myriam.

Première diffusion
12.12.2011

Diffusions

Logo de la chaîne D8

France (inédit)
Jeudi 22.11.2012 à 00:00
0.64m / 2.4% (Part)

Plus de détails

Retrancrit par Maluzo pour Hypnoweb

Episode  -  Au nom du pire

© Canal+.

 

 

Jean-Baptiste : Pose ton arme. Recule ! Planque-le entre les voitures. Dépêche-toi. Ça suffit. Viens là. Delgado !

 

Sur le trajet de Bleuvennes Industries

Eddy (en pilant) Bouge pas !

Walter : C'est bon.

Werner : Vous êtes morts.

Eddy : C'est fini, bidasse. T'as ce qu'il faut ?

Rocky : Oui. Dans ma camionnette.

Walter : Alors ?

Eddy : On fera pas sauter le camion. T'as vraiment cru à tout ça ? On va l'utiliser pour se barrer.

Théo : Et maintenant ?

Eddy : Walter va nous couvrir. On rentre, on braque et on sort.

Théo : Comme ça ?

Eddy : Avec un peu de chance...

Chez Vogel

-Bonsoir.

Vogel : Bonsoir, Béatrice.

Béatrice : T'es beau, rigolo, et tu sais recevoir.

Vogel : Te chauffe pas trop vite. On va commencer par trinquer. Ensuite, j'ai ma petite idée.

Béatrice :Et maintenant ?

Vogel : Finis ton verre d'abord.

Béatrice : Dis-moi comment tu vas me baiser.

Vogel : Je vais si bien te baiser qu'il restera plus qu'à t'enterrer.

Béatrice :Tu vas pas me tuer, quand même ?

Vogel : Bien sûr que si, ma chérie. Là, tu vas perdre connaissance. Et quand tu te réveilleras, tu seras attachée dans ma cave. Je te travaillerai un peu. Et je t'achèverai.

Bureau de Fèvre

Antoine : Fèvre m'a parlé de vous. Installez-vous.

Roxane : Un policier est mort.

Antoine : Et alors ? Avec vous, ça fera deux policiers morts. Alors maintenant, vous vous asseyez, et on attendra ensemble le coup de fil de votre ami Caplan.

Jean-Baptiste : T'es sourde ? Assise !

Roxane : Merci.

Fèvre : J'avais un flingue braqué sur la tête.

Roxane : Vous êtes un putain de général.

Antoine : Lieutenant Delgado, le général a décroché son grade à coups de magouilles. Et pour ce qui est du courage, ça ne s'achète pas. La spécialité du général, c'est d'enculer les gens. Depuis le début, vous êtes des boucs émissaires. Cette mission est une arnaque.

Jean-Baptiste : Je peux vous parler ?

Antoine : Vous n'avez pas été filmé. Débarrassez-vous du corps.

Jean-Baptiste : Qu'est-ce que vous faites ?

Antoine : Je les surveille.

Jean-Baptiste : Restez à distance.

Bleuvennes Industries

-Bonsoir.

Eddy : Bonsoir.

-Il est tard.

Eddy : Livraison spéciale. Tout est là-dessus.

-C'est bon.

Un gardien : On les attendait. Je suis votre contact. Je m'occupe de la sortie.

Bureau de Fèvre

Fèvre : Vous pouvez me haïr, lieutenant, mais si vous voulez récupérer votre vie et celle de vos amis, répétez ça à Caplan...

Jean-Baptiste : Dois-je vous rappeler que Fèvre a tué votre père ?

Antoine : Non. Lieutenant Delgado, vous avez tué Marceau et Fèvre. Et vous vous êtes suicidée.

Roxane : T'approche pas. T'approche pas ! Pose ton arme ! Recule !

Antoine : Oh, putain ! Putain ! Je vais crever ! Aide-moi. Je vais crever. Oh, putain... Dréan ! Ah, je vais crever.

Bleuvennes Industries

Eddy : C'est là. Théo ! 3, 2, 1 !

Alarme.

Eddy : C'est bon, on s'arrache.

Théo : Ralentis. Y a Walter.

Théo : Roule ! Ça passe !

Eddy : Oh, putain !

Théo : Bon. Et maintenant ?

Eddy : Dantin et Luanda, on les fait tomber. Allez, appelle Marceau.

Son téléphone sonne.

- Rox ?

- Théo...

Théo : Marceau répond pas.

Roxane :  Il est mort. Fèvre aussi.

Théo : T'es sérieuse, là ?

Roxane : Bleuvenne nous a trahis.

Théo : Bon. On se retrouve chez Rocky. T'entends ?

Roxane : OK. Hé ! Police ! Donne tes clés.

-Ça va pas ?

Roxane : Donne-les-moi, je te dis !

Hôpital

Préfet : Bon. Qu'est-ce qui s'est passé ?

Fargette : Le commandant Marceau s'est fracassé en voiture. Ils ont cru à un accident jusqu'à ce qu'ils se rendent compte qu'on lui avait tiré dessus.

Préfet : Il est mort ?

Fargette : Non.Ils l'ont plongé dans le coma. Son pronostic vital est sérieusement engagé.

Prefet : Comment c'est arrivé ?

Fargette : Je les ai interrogés. Tout ce que Marceau a lâché, c'est un nom : "Roxane."

Prefet : Delgado.

Son téléphone sonne.

Fargette : Excusez-moi. Allô ? Oui ? Le général Fèvre est mort. Son directeur adjoint accuse Roxane Delgado d'avoir assassiné Fèvre et Marceau et d'avoir attenté aussi à sa vie.

Chez Vogel

Valérie : Hé ! La voiture  Ho ! Tu bouges ! Ho ! Police.

Vogel  (déguisée en femme): T'as du feu, Valérie ?

 

Planque des invisibles

Dantin : Où est Werner ? Où est l'arme ?

Eddy : Blitch est entre nos mains. L'arme est dans le camion.

Dantin : Sergent, vérifiez.

Luanda : Y a pas d'arme.

Dantin (braquant walter) : Pensez à votre ami. Il va falloir...

Eddy : Posez votre arme, et rendez-vous.

Dantin : Vous l'aurez voulu.

Théo : Baissez vos armes ! N'essayez pas de nous baiser ou je vous fume !

Dantin :  On pourrait s'entendre.

Théo : T'es baisé sur tous les fronts, alors pose ton arme.

Luanda : Mon colonel ?

Théo : Baisse ton arme !

Dantin : Sergent...baissez votre arme !

Chez Irène Bleuvennes

Irène : Encore la messagerie ? Ça fait plus de 5 heures que le colonel a l'Inessif, et toujours aucun moyen de le joindre. Et mon fils, comment va-t-il ?

Jean-Baptiste : Sa blessure est légère. Je l'ai laissé en compagnie du préfet et des policiers.

Irène : Et ?

Jean-Baptiste : La réputation de ripou de Delgado a rendu notre version crédible.

Irène : Mais vous êtes conscient qu'elle ne devra jamais être en état de présenter sa version des faits.

Chez Rocky

Rocky : Ils rejoignent leur copain ?

Eddy : Où est Roxane ?

Rocky : Là. Messieurs, après vous.

Eddy : Rox...

Chez Vogel

Valérie et Isabelle sont attachées dans la cave

Elle tousse.

Vogel : t’as vu mes pieds, C'est l'œuvre de tes godasses de pétasse. Franchement, je te dis pas merci. Béatrice, je suis en plein dilemme, avec toi. Avec quoi te planter en premier ? Ça... ou ça. Chut, chut, chut... C'est pas pour tout de suite. À tout à l'heure.

Chez Rocky 

Eddy : C'est tout ?

Théo : "C'est tout" ? Deux meurtres sur le dos, c'est déjà pas mal.

Roxane : Fèvre m'a balancé des infos.

Eddy : Vas-y, on t'écoute.

Roxane : Irène Bleuvenne a libéré Dantin et ses hommes. Son mari les avait envoyés liquider le président. Fèvre était à la direction des renseignements militaires. Il a désapprouvé, alerté les Angolais, et fait sauter l'avion de Bleuvenne.

Walter : Ça explique le comportement du fils. Mais pourquoi Dantin nous a envoyés braquer un hangar des Bleuvenne alors qu'ils l'ont sauvé ?

Eddy : Ils avaient les plans du site et les codes d'accès. À ton avis, comment ils les ont eus ?

Théo : La mère Bleuvenne.

Walter : Et pourquoi ?

Eddy : Elle veut nous faire porter le chapeau. On est les parfaits coupables. Putain ! Marceau, Fèvre et Bleuvenne connaissaient ma mission.

Théo : T'oublies le préfet.

Eddy : Tu parles ! Ce bouffon ! C'est plus simple pour lui de nous faire plonger. La parole de Bleuvenne, qui pèse des milliards, contre celle de flics ripoux...

Roxane : Fèvre voulait que je te dise un truc important.

Eddy : Explique-toi.

Roxane : Toutes les preuves dont on a besoin pour se blanchir sont dans une banque. Ils voulaient les récupérer.

Théo : Quelle banque ?

Roxane : La Islamyia Bank, dans le 8e. Une banque des Émirats.

Théo : S'il le faut, on ira jusque-là.

Eddy : Eh ben, dis donc...

Thé o : tant que Rox est dans la merde, Je suis avec vous.

***

*M. Dréan ? D'ici 48 heures, vous aurez la réponse.

Jean-Baptiste : Entendu, Lucien.

-Bon week-end.

L’empyrée

Alarme.

Myriam s’enfuit

Fils Arifa : Je vous raccompagne ? Allez, bouge.

Bleuvennes Industries

Irène : Où sont-ils ?

Jean-Baptiste : Je ne sais pas, madame. Leurs portables n'envoient plus rien. La dernière émission venait de leur planque.

Irène : Le colonel nous aurait trahis ?

Jean-Baptiste : Il a perdu le contrôle de Caplan.

Irène : Ce serait décevant, de la part d'un homme tel que le colonel.

Jean-Baptiste : On a changé de siècle, madame.

Irène : Nous avons 48 heures. Trouvez cette arme, Jean-Baptiste, vite, quel qu'en soit le prix.

Chez Rocky 

Théo : J'arrive tout de suite. OK. Bisous. Il faut que j'y aille.

Roxane : C'était elle ?

Théo : Oui. Ne dis rien aux autres. Fargette veut me voir.

Roxane : Et s'il t'embarque ?

Théo : Il a quoi, contre moi ? Je reviens vite.

Roxane : Pour quoi faire, bouffon ?

Eddy : Vous ne direz pas ce que Bleuvenne comptait faire avec l'Inessif ?

Dantin : J'ai donné ma parole d'officier. Pas question de me renier.

Eddy : Je vous demande pas de vous renier, mais de me prêter main-forte.

Dantin : Pourquoi ?

Eddy : Nous avons un problème plus urgent.

-Caplan, c'est Mme Arifa. Vous êtes l'ambassadeur du colonel. Dites-lui que je tiens Myriam Elmidoro. S'il considère que sa vie pèse 200 kg d'or, je procéderai à l'échange. J'attends votre appel.

Eddy : Il faut qu'on parle.

Dantin : Avant de parler de quoi que ce soit, pourquoi avoir tué Gaëtan ?

Eddy : Il a pris une fille en otage et était prêt à la tuer. J'ai essayé de le raisonner, mais...

Dantin : Vous avez abattu un frère, un soldat d'élite.

Eddy : Et si on parlait des vivants ?

Dantin : Vous proposez quoi ?

Eddy : On sort Myriam des mains des Arifa, et vous vous rendez. Je vous remettrai aux autorités policières, et je laisserai Luanda, Werner Blitch et Myriam libres d'aller où bon leur semble.

Dantin : OK, à une condition. Dés que Myriam sera libérée, vous lui direz la vérité. Nous sommes d'accord ?

***

Théo : À quoi tu joues, Fargette ? T'as rien sur elle. C'est juste que tu m'as dans ton viseur.

Fargette : T'emballe pas, Vachewski. T'es mignon, mais je préférerais mettre la main sur Roxane. Tu me demandes pas pourquoi ?

Théo : J'en sais rien. T'es amoureux ? T'en as marre, de te pignoler ?

Fargette : C'est ça, oui. Voici un témoignage du père de ta copine. Elle est complice dans le meurtre de la femme de Lemoine. Sans parler d'un vieux dossier qu'elle a encore chez nous.

Thé o : Il te faudrait des preuves.

Fargette : Le seul qui aurait pu parler, c'est l'avocat Fahad, celui que Roxane a fumé, tout comme elle a flingué Marceau et le patron de la DCRI.

Théo : J'emmerde tes accusations et ta loi, gros con.

Fargette : On l'embarque, les gars.

Mélanie : Lâchez-moi... Connards !

Théo : Lâchez-la ! C'est bon. On peut s'arranger. Dis-moi ce que tu veux.

Fargette : Roxane Delgado.

Théo : Non. Je peux pas faire ça. J'ai mieux à te proposer.

Fargette : Je t'écoute.

Théo : Eddy Caplan.

Fargette : Je croyais que Caplan, c'était ton pote.

Théo : C'est pas mon pote. Y a que Roxane qui compte. Et dans ma vie, y a qu'elle. Je le laisserai pas tout bousiller.

Fargette : Je veux Caplan ce soir.

Théo : Tu l'auras. Il faudra que tu viennes seul.

Fargette : Tu me prends pour un gros con ?

Théo : Tu te débrouilles bien tout seul. C'est un ancien flic en cavale. Il sentira le moindre dispositif à des kilomètres.

Fargette : OK, Vachewski. À la première entourloupe, ta copine boit la tasse. On y va, les gars. Je t'ai à l'œil, toi.

Mélanie : C'est ça.

***

Mme Arifa : T'as bien noté l'adresse ?

Eddy : Oui. Je peux parler à Myriam ?

Mme Arifa : Pourquoi ? Pour vérifier qu'elle est en vie ?

Eddy : Quelque chose comme ça, oui.

Elle crie.

Mme Arifa : T'as entendu, poulet ? Quand ça crie comme ça, c'est que c'est bien vivant.

Chez les Bleuvennes

Irène : Tu n'as pas touché ton assiette.

Antoine : Je n'ai pas faim.

Irène : Merci, Julia. Vous ferez ça plus tard.

Antoine : Les flics ont pris mes accusations pour argent comptant. Ils cherchent Delgado pour avoir sa version des faits.

Irène : Ils ne l'entendront jamais. J'ai déjà donné des ordres en ce sens.

Antoine : Reste le problème Marceau. S'il sort du coma, il parlera, et s'il parle... T'en penses quoi ?

Irène : Tu jacasses comme un brave petit coq, mais en vérité, tu transpires une odeur de peur. Reprends-toi.

Hôpital

Jean-Baptiste : Bonjour. Je viens voir le commandant Marceau.

Policier : Seule la famille est autorisée à entrer.

Jean-Baptiste : Je comprends. Gabriel et moi, on est comme des frères. On a travaillé ensemble, il y a quelques années. Quand on a chopé ces braqueurs, si Gabriel n'avait pas été là, je serais mort.

Policier : Je comprends.

Jean-Baptiste : Quand j'ai appris qu'on lui avait tiré dessus, je m'en suis voulu. J'aurais aimé saluer un ami. Merci de votre temps.

Policier : Monsieur... Je vous accorde 5 minutes avec votre ami, mais je vais devoir vous fouiller. Entrez.

La porte s'ouvre.

Infirmière : Qui est là ?

Policier : C'est un ami...

Infirmière : Vous sortez ! Ou je vous signale sur mon rapport. Vous êtes témoin. Allez, dehors !

Chez Rocky

Dantin : Tout est clair ?

Eddy : Ils sont aussi bons que je l'espère ? Ou juste bons à tuer des civils innocents ?

Dantin : C'est pour les protéger qu'on fabrique des gens comme nous. Et nous évitons de partager le lit de leur sœur.

Eddy : Depuis quand le savez-vous ?

Dantin : Je l'ai compris lors de votre petit entretien téléphonique. Lorsque nous en aurons terminé avec les Arifa et que Myriam sera sauve, j'espère que vous assumerez, monsieur Caplan.

Chez Théo

Mélanie : Tu lui as dit quoi, à ce gros con de keuf ?

Théo : Tu veux quoi ? La vérité ou du baratin ?

Mélanie : Je veux plus aucun mensonge entre toi et moi.

Thé o : À ce jeu, c'est pas moi qui ai commencé. Ça va... Je lui ai promis de lui balancer un de mes amis.

Théo : Tu vas pas faire ça. T'es pas sérieux, là ?

Théo : Ben, non. Je suis pas sérieux. Ce gros con m'a cru.

Mélanie : Ce sera toujours eux avant moi ?

Théo : Arrête tes conneries. L'amour et l'amitié, c'est pareil, non ? Tout ce que je fais, c'est gagner du temps. J'ai pas envie que le petit naisse en prison.

***

Eddy : Je vais pas te serrer dans mes bras. Tu pourrais prendre ça pour un adieu, ça me porterait la poisse.

Chez Vogel

Vogel : Allez... concentre-toi, Béatrice. Tiens bien l'arme. Allez. Applique-toi, Béatrice, merde ! Je vais t'aider. Attends. C'est pas tout à fait ça, mais c'est mieux. C'est pas fini. C'est ta vie ou la sienne. Allez, cette fois-ci, c'est la bonne. Eh ben, voilà. C'est bien. Bravo. Bon... Qu'est-ce que je vais faire de toi, maintenant ?

 

***

Luandin : Vigie 2 à vigie 1. AK47, rien que pour moi.

Werner : Vigie 1 à vigie 2. Je prends le fusil à pompe.

Dantin : Nous portons les bracelets, et Blitch a l'Inessif. Et si on ne vous laisse pas vous approcher de Myriam ?

Eddy : Dans ce cas, on passe au plan B.

Dantin : Le plan B me donne droit de vie et de mort sur vous.

Eddy : Pour moi, l'essentiel est que Myriam s'en tire sans une égratignure.

Fils Arifa : Descendez. Fouillez-les. Donne-moi les clés.

Je veux voir Myriam d'abord.

Fils Arifa : Ouvrez. Rentre ta charrette.

Mme Arifa : On va pas faire des phrases vides. Tu es l'homme, et tu veux la femme. Moi, je suis la femme, et je veux l'or. Est-ce que tu as mon or ?

Eddy : Les 200 lingots sont dans le coffre. Mais je veux parler à Myriam.

Mme Arifa : Tu lui débiteras tes foutaises après ! Poulet, sors les mains de tes poches.

Eddy : Pour quoi faire, Saraï ?

Mme Arifa : Latif ! Daniel !

Eddy : Saraï Arifa, les 200 kg d'or sont dans le Range. Il y a aussi assez d'explosifs pour tout souffler.

Mme Arifa : Tu bluffes, poulet. Tu bluffes !

Eddy : Ah ouais ? Mort pour mort, je t'emporte avec moi, toi et tes putains de fils. Alors, tu décides quoi ?

Mme Arifa : Qu'est-ce que tu proposes, Caplan ?

Eddy : Ce boîtier a une portée de 1 500 m. Le colonel repart avec Myriam, et je reste ici. Une fois que t'auras vu que ton or est là, je repars.

Mme Arifa : Libère-la, Daniel.

Eddy : Vous avez ma vie entre vos mains, colonel. Plus tard, Myriam.

Myriam : Plus tard.

Mme Arifa : Même si j'ai mon or, tu vas mourir, poulet !

Luanda : Signal donné.

Mme Arifa : Latif !!!!!

2éhanges de coups de feu

Mme Arifa : Oh, Daniel. Caplan !

Eddy : Oui, Saraï. Je suis là. Je veux pas te tuer. Alors lâche l'affaire.

Mme Arifa : Va chier, poulet !

 

Kikavu ?

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Sonmi451, Aujourd'hui à 12:03

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